Faire la critique d’un film : rentré dans le commentaire d’une œuvre achevée ; pour une pensé qui ne cesse de produire ; est ce bien objectitf ?
Le but étant de ne pas perdre le fil de l’histoire… Car les images défiles, et la pensée refile parfois des mots qui font sens uniquement pour soi ; alors que les acteurs jouent leurs personnages…
L’interprétation artistique fait place à l’imagination du spectateur ; il n’existe jamais qu’une seule version. La critique aspire parfois la respiration de l’acteur, tandis que le spectateur inspire la mise en scène ; l’histoire n’expire uniquement quand les différentes émotions du mëme spectateur éclatent au grand jour. G.
AVATAR 1
Quand les effets spéciaux prennent le pas sur le déroulement du film, on peut parler de prouesse technique ou scénique.
Dans Avatar, les deux sont réunis, la beauté de l’image, ajoutée à une mise en scène ultra efficace sur fond de guerre et d’amour ; tel un western spatial et inter planétaire ou deux civilisations s’affrontent ; sans oublier une interprétation de Jake Sully ; qui réincarnais physiquement par son avatar, brave tous les dangers ; il tombe dans les bras d’une autochtone brisé dans leur romance, réconcilié par la guerre ou l’héroïsme d’un couple improbable, va faire pencher la balance sous l’œil invisible de la déesse Aïlla ; mystifié par les humains qui malgré leur équipement ultra moderne vont se heurter à une nature hostile et surtout à l’amour d’un peuple pour sa terre. G
AVATAR 2 « la voie de l’eau ».
« La voie de l’eau » est une suite conventionnelle. Même si les effets spéciaux offrent des images toujours aussi magiques ; Un parfum pesant de revanche terrienne reste très ancrée dans cette histoire, à la fois touchante de part ce nouvel environnement aquatique accueillant le couple héros et leurs progénitures, et, également assez prévisible, de part son scénario. Même si l’émotion y demeure, ce second volet reste sans surprise mise à part un génie technique qui pour les amateurs est je l’imagine, une perpétuelle découverte. G