Deuxiéme volet comme une fenetre ouverte sur un ciel nouveau ; difficile de faire oublier le premier ; car sa fumée plane toujours ; tel un nuage de poussiére ; les avions de chasse ont laissés une trace indéclébile au cœur du cinéma d’action ; associé à laromance entre le sergent instructeur incarné par Killy Macgillis ; tombée sous le charme du fougueu pilote Maverick. Maverick, un nom qui raisonne comme un coup de tonnerre pour cette suite quelque peu surfaite de part son héritage ; le fils de Gooz face à Pete Mitchell ; de quoi régler un compte à rebours ; deux missions en une , foncé restant leur priorité ; il ne s’agit pas de partir en vrille, mais bien de recoller les morceaux afin de décoller en force.
Objectivement
par