Elle est là, dans les champs
Avec un air étonnée
Balayant ses pensées
Et ses rêves, en fuyant
Ses souliers à la main
Angélique fait terre à terre
En son anniversaire
Accompagnée d’arlequins
Qu’elle est éblouissante
Avec son innocence
Ainsi que sa bienveillance
Loin de l’air polluante
Entourée de pâquerettes
Marquant le premier temps
D’un délice excellent
Au loin une maisonnette
Gambadant vers les vaches
Angélique est heureuse
D’humeur aventureuse
Elle s’y est pris d’attache
Le Premier Temps d’Angélique,
Le J
Quand les oiseaux gazouillent
jouant de leurs syllabes
un langage abscons
Les papillons, eux, s’envolent
telles de petites lucioles
tenant de belles ailes
Par ici, par là
on en perd la tête
Rute des mammifères
Eveil des ours
toute la Terre s’emballe
les naissances affluent
un nouvel arche de Noé se créé
Comfettis de pâquerettes, mimosas et tutti quanti
Rien ne résiste à cette déferlante
Pas même les humeurs les plus moroses
F.
Le printemps
Mais qu’il est doux ce temps,
Qui pousse enfin les gens,
A quitter leur maison,
Pour cette nouvelle saison.
Le soleil a percé,
Les enfants enchantés,
Peuvent bien profiter,
De balades improvisées.
La nature s’éveille,
Notamment les abeilles,
Qui travaillent à merveille,
Et bien sûr cela paye.
Comme toujours, tout y est,
Des fleurs dont du muguet,
Du ciel bleu ça égaie,
Et même des nids douillets.
Oui enfin le printemps,
Saison que j’aime tant,
Qui de par sa douceur
Me réchauffe le cœur.
MLD
Petit à petit, tu sors de ton sommeil
Revenant doucement à la vie comme une renaissance
Invitation faite faite gracieusement par le doux soleil
Nature, tu nous encenses avec ton élégance
Tulipes, primevères et crocus nous émerveillent
Enchantant nos coeurs , après cette longue absence
Mars et mai nous conseillent
Peut-être le début d’une nouvelle romance?
Saison douce et tendre comme le miel est à l’abeille.
C.
Nouvelle saison
Si je devais fairedes rimes avec le printemps,
Il serai pour moi temps de prendre un contretemp.
Enfin ; si une fleur passait sous mon toit,
Je t’offrirai un ciel ; à toi.
Quand le soleil brille à nouveau,
C’est tes cheveux que je trouve beau ;
Quand les oiseaux chantent en ma demeure,
Ces quelques notes me réconforte le cœur.
Est-ce que une saison peut résumer l’amour,
Comme un passage,, un calenbour ;
Est-ce que l’éternité est un sentiment vrai ;
Comme une émotion qui aurai mal tournée.
Je ne compte plus les moments ou je t’es aimé,
De l’hiver à l’automne dernier ;
La pluie à coulée sous un pont,
Les feuilles marrons passent sous l’horizon ;
Mais revenons à notre chére saison,
Avec ces tulipes et ces bourgeons ;
Revenons à une valeur essentielle,
Celle de la terre et du soleil.
G